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viktor orban - Page 2

  • Musique : en Hongrie, Viktor Orbán prêt à financer une pop et un rock “populistes”, pour en faire “un ciment d’identité”

    Publié par Guy Jovelin le 22 mars 2021

    Quand la «pop» rime avec «populisme». Le gouvernement souverainiste de Viktor Orban, avec son objectif de défendre l’identité hongroise, envisage de soutenir la scène locale. Une idée qui peut séduire, mais qui sème finalement l’inquiétude chez les musiciens.

    (…) Le plan, dont les détails ont été révélés cette semaine, promet une enveloppe de 62 millions d’euros pour dénicher et former les talents, financer la création et les équipements (studios, lieux de concert…). «Il s’agit d’aboutir à des productions pop et rock hongroises de qualité, d’en faire un ciment d’identité», explique Szilard Demeter, l’homme derrière cette initiative qui officie depuis 2019 comme commissaire à la culture.

    Dans un entretien accordé l’an dernier à l’AFP alors que se dessinait le projet, il soulignait en quoi «la musique peut exprimer ce qui est différent dans la personnalité, la vision et l’expérience historique» des habitants de ce pays d’Europe centrale de près de 10 millions d’habitants. «C’est parfois incompris par les Européens de l’ouest, mais c’est ce qui est passionnant et exotique», confiait-il. Et de préciser ses ambitions pour la culture hongroise : «Dans la féroce guerre qui se joue, la question est de savoir si elle aura disparu dans cent ans», insiste ce guitariste amateur. «L’identité nationale s’est affaiblie et doit être restaurée», clame l’écrivain de 44 ans.

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • Le « J’accuse » de Viktor Orban contre Vera Jourova, la vice-présidente de la Commission européenne et chargée du respect des valeurs de l’Union européenne

    Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2020

    L’Union Européenne a quelques ennemis : non les clandestins et autres déconstructeurs arc-en-ciel de l’identité européenne mais les rares pays qui s’opposent à cet agenda mondialiste que les technocrates bruxellois ont mission d’imposer du Nord au Sud, de l’Ouest à l’Est. Au moyen du rouleau compresseur des sanctions économiques, des diabolisations médiatiques, des punitions juridiques…

    La Hongrie, et son Premier ministre Viktor Orban, sont les bêtes noires à abattre pour l’UE. Vera Jurova, la vice-présidente de la Commission européenne et chargée du respect des valeurs de l’Union européenne et de la transparence, nommée à ce poste par l’actuelle présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, en est le bras armé. Récemment, en septembre, madame Jurova n’avait pas hésité a expliqué au Der Spiegel que  Orban et son « allergie aux principes démocratiques » était le vrai problème de l’Europe. « En Europe, avait ajouté cette activiste des droits Lgbt et de l’idéologie du genre, il y a le respect pour la démocratie, pas en Hongrie. »

    Dans la bataille juridique qui oppose Orban au milliardaire juif d’origine hongroise Georges Soros et à son Université d’Europe centrale que la Hongrie veut fermer, la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) vient de donner, mais cela ne peut guère étonner que les naïfs impénitents, raison à Soros. Les juges européens ont jugé, dans un arrêt du 6 octobre, que la loi hongroise soumettant l’installation des universités étrangères à des exigences nouvelles contrevenait aux engagements internationaux de la Hongrie visant à garantir la liberté académique et la libre entreprise.

    Décision à laquelle Viktor Orban a déclaré se soumettre, « Nous mettons toujours en œuvre les arrêts de la Cour européenne – que nous les considérions comme justes ou faux, professionnellement valables ou malsains, intelligents ou peut-être absurdes, » avant d’ajouter : «

    « Cela ne posera pas beaucoup de difficultés, estime-t-il, car il existe un certain nombre de solutions juridiques qui satisferont la décision de la Cour européenne – même si nous avons besoin de réponses à certaines questions qui n’ont pas encore été clarifiées. Cela signifie que le dialogue se poursuivra. »

    Mais si dans un premier temps le Premier ministre hongrois a semblé faire profil bas face à cette UE qui veut imposer sa vision du « respect de l’Etat de droit » qui oblige sous couvert de promouvoir la liberté de la presse, l’indépendance de la justice, l’équilibre des pouvoirs, à l’acceptation de l’agenda arc-en-ciel, ce n’était que pour mieux rebondir et attaquer frontalement, un jour après la décision de la CJUE, tant Bruxelles que Vera Jurova, la vice-présidente de la Commission européenne et chargée du respect des valeurs de l’Union européenne :

    « Vera Jourova est la représentante de George Soros.

    « Le fait que Mme Jourova soit une obligée de George Soros – ou, pour le dire encore plus fortement, qu’il la fasse manger dans la paume de sa main – est quelque chose que tout le monde sait et que nous savons depuis le début. Vera Jourova est donc la représentante de George Soros à la Commission européenne. Elle ne représente pas la Tchéquie ; elle ne représente pas les Tchèques ; elle ne représente pas les Européens et elle ne représente même pas la Commission. Elle représente George Soros. Telle est la situation ; c’est la politique européenne. On ne doit pas être offensé, mais on ne doit pas non plus rester silencieux à ce sujet. »

    « Elle [Vera Jourova, NDLR] a franchi une ligne rouge, affirmait-il le 4 octobre sur radio Kossuth. Un dirigeant de l’Union européenne ne doit pas parler de manière irrespectueuse des citoyens de tout État membre de l’UE, y compris les Hongrois. Si elle avait dit la même chose à propos de la France ou de l’Allemagne, elle aurait été licenciée sur-le-champ. La seule raison pour laquelle elle n’a pas été licenciée est que cela peut être fait pour les petits pays et les Hongrois. Mais nous ne devons pas accepter cela. Nous voulons un traitement égal. De même que les Allemands ou les Français ne peuvent pas être insultés impunément, nous ne devrions pas non plus l’être. Nous ne devrions pas avoir à supporter plus qu’ils ne le font simplement parce qu’ils sont plus grands que nous. »

    Orban n’a pas hésité non plus à s’en prendre à Bruxelles qu’il compare à une force supplétive de la gauche européenne qui se donnerait pour mission de renverser les gouvernements de droite :

    « C’était une aide internationaliste lorsque les troupes russes – pardonnez-moi, les troupes soviétiques – ont été dirigées ici pour défendre les communistes, explique-t-il. Aujourd’hui, la situation est la même : la gauche hongroise est faible et le peuple est plus contre elle qu’avec lui – et lui-même est contre le peuple, mais c’est une autre affaire. À ce moment-là, des troupes internationales sont déployées et une assistance internationaliste est fournie afin d’aider la gauche à entrer au gouvernement. C’est cela que visent les attaques contre la Hongrie. »

    En parlant ainsi, aussi fermement et sans fioriture, Viktor Orban sait être en phase avec une majorité de Hongrois qui ne veulent pas de la vision idéologique de gauche et mondialiste de l’Union Européenne.  Si Orban a perdu une bataille face à l’UE, il a gagné une victoire en Hongrie…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Viktor Orbán : “L’Europe occidentale souhaite un monde métissé et vivre ensemble avec des étrangers. Nous préférons rester hongrois” Koba

    Publié par Guy Jovelin le 16 septembre 2020

    15/09/2020 à 22h16

    (…) Sur un autre sujet que le Covid, M. Orbán a déclaré que, contrairement à l’Europe centrale et aux pays de Visegrad, l’Europe occidentale s’était “engagée dans un modèle de société ouverte dans laquelle les frontières n’ont pas d’importance”.

    Ils autorisent et invitent même les migrants chez eux. Ils préparent un monde métissé et veulent vivre ensemble avec des personnes de cultures étrangères”, a-t-il dit.

    “Nous ne voulons pas de cela en Europe centrale ; nous, Hongrois, voulons rester une civilisation hongroise et chrétienne”.

    Hungary Today via fdesouche

  • Hongrie et immigration : Viktor Orban serre la vis au droit d’asile

    Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2020

    Après la récente décision de la Cour de justice de l’UE qui a défini illégale la détention d’environ 300 immigrants illégaux effectuée par la Hongrie à travers des structures situées le long de la frontière avec la Serbie, le gouvernement Orban a annoncé un resserrement radical précisément dans le domaine des migrations.

    En fait, Budapest a récemment annoncé, en même temps que la libération des aspirants réfugiés en question, une réforme dans un sens encore plus restrictif de la législation nationale sur le droit d’asile. Le changement promu par l’exécutif dirigé par le Fidesz permettra, dans l’intention du Premier ministre magyar, de décourager définitivement les migrants de se blottir aux frontières hongroises pour présenter des demandes de protection internationale aux autorités du pays de l’Europe de l’Est.

    Zoltan Kovacs, porte-parole du gouvernement Orban, a annoncé jeudi le resserrement des lois migratoires hongroises, via un tweet.

    Zoltan Kovacs@zoltanspox

    The transit zone will be abolished, and in the future, asylum seekers will be able to submit their applications in neighboring countries, said Minister Gulyás. More on the BLOG: https://bit.ly/2TpT5CF 

    Selon ce qui a été publié par le haut fonctionnaire du gouvernement, les futures demandes d’asile ne peuvent plus être présentées sur le territoire magyar et donc les aspirants réfugiés, à partir d’aujourd’hui, ne pourront faire valoir leurs demandes de protection internationale que dans les consulats de Budapest présents dans les pays voisins avec la Hongrie, comme la Serbie.

    La déclaration publiée sur le web par Kovacs fait référence à une déclaration publiée à nouveau jeudi par Gergely Gulyás , chef de cabinet d’Orban.

    Au moyen de la note en question, Gulyás a précisément annoncé, après avoir vivement critiqué la décision de l’UE qui a défini la détention d’immigrants illégaux par Budapest comme illégale, qu’il n’y aura bientôt plus de zones de transit le long des frontières hongroises où les migrants pourront déposer leur demande d’asile. A l’avenir ils ne pourront le faire qu’en se rendant dans les bureaux consulaires hongrois opérant dans les “pays sûrs” qui bordent la nation gouvernée par le Fidesz.

    Ce serrement de vis pour contrer l’immigration illégale annoncé par les représentants de l’exécutif d’Orban a immédiatement, souligne le New York Times, mis en colère les organisations humanitaires, tel le Comité hongrois d’Helsinki qui, par la bouche de son porte-parole Zsolt Zadori, a qualifié de « violation de la Convention de Genève sur réfugiés  » la volonté de Budapest de forcer les immigrants à demander l’asile en dehors de la Hongrie.

    Kovacs a immédiatement répondu à cette critique en affirmant la conformité de l’initiative du cabinet Orban avec le texte du traité mentionné par Zadori, tout en précisant que les autorités de Budapest interpréteraient la Convention dans un sens diamétralement opposé à celui suivi par le porte-parole de l’ONG :

    « La Hongrie est entourée de nations sûres. La Convention de Genève stipule que les aspirants réfugiés doivent présenter leur demande dans le premier pays d’arrivée sûr. Nulle part il n’est écrit que les migrants ont le droit de choisir où demander l’asile et donc de violer les lois nationales sur l’immigration, devenant par conséquent des clandestins à repousser. »

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • 30 000 € pour les familles ayant 3 enfants

    Publié par Guy Jovelin le 01 août 2019

    Auteur : Michel Janva

    30 000 € pour les familles ayant 3 enfants

    Ne rêvez pas : ce n’est pas pour les familles françaises.

    Pour contribuer à favoriser la natalité, le gouvernement hongrois de Viktor Orban a décidé d’attribuer une aide de 10 millions de Forint, soit 30 500 euros, à chaque famille dès le troisième enfant. […]

    Sous forme de prêt à rembourser petit à petit, chaque mois, 2 400 familles ont déjà bénéficié de cette aide exceptionnelle. Dès le premier enfant, les familles hongroises sont dispensées des intérêts et les remboursements sont suspendus pendant trois ans. Une deuxième pause de trois ans est ensuite accordée à partir du deuxième enfant. Et à partir du troisième, plus besoin de rembourser un seul centime. Une exemption à vie de l’impôt sur le revenu pour les femmes ayant élevé au moins quatre enfants a même été évoquée par Budapest. […]

    Doté d’un faible taux de fécondité (1,54 enfant par femme contre une moyenne de 1,59 dans l’Union européenne en 2017), la Hongrie fait également face à une pénurie de main d’œuvre, les travailleurs préférant les salaires plus alléchants de l’ouest du continent. Cependant, tous les Hongrois ne pourront pas bénéficier de cette aide. En effet, il faut que les deux parents soient mariés, résidents en Hongrie, la mère doit être âgée entre 18 et 40 ans et l’enfant doit être issu d’une première union. De plus, l’enfant doit naître dans les cinq ans qui suivent l’obtention de l’aide. Si tel n’est pas le cas, le couple devra rembourser l’intégralité de la somme… en quatre mois. 

     

    Source : lesalonbeige